La qualification de
gentilhomme (en , francisation tardive due à l'admiration portée sur les gentilshommes français), portée en
France jusqu'à la fin du , était une dénomination réservée aux hommes légitimement nobles, c'est-à-dire noble d'extraction à la différence de l'anobli par ou par
lettres patentes du
roi, lequel est noble sans être gentilhomme mais il communique la
noblesse à ses enfants, lesquels deviennent gentilshommes. Ils possédaient alors la « gentillesse », c'est-à-dire la
noblesse légale.