Le
principe de complémentarité fut introduit à
Copenhague par
Niels Bohr suite au
principe d'indétermination de
Werner Heisenberg comme approche philosophique aux phénomènes apparemment contradictoires de la
mécanique quantique, par exemple : celui de la
dualité onde-corpuscule. Dans sa forme la plus simpliste, il dispose qu'un « objet quantique » ne peut se présenter que sous un seul de ces deux aspects à la fois. Bohr a montré que le principe selon lequel différents aspects d'un système ne peuvent être perçus simultanément, validé dans d'autres disciplines intellectuelles, s'appliquerait désormais dans le domaine de la physique, alors qu'il était absent de la
physique classique.