Aux
États-Unis le
Civil Rights Act (plusieurs lois américaines portent ce nom) du
2 juillet 1964, signé par le
président des États-Unis,
Lyndon Baines Johnson, a déclaré illégale la
discrimination reposant sur la
race, la couleur, la
religion, le sexe, ou l’origine nationale. Il était conçu au départ pour protéger les droits des
Afro-américains. À la suite d'un amendement déposé par Howard W. Smith, la protection fut élargie à tous, hommes et femmes. Cette loi contribua à réformer la société américaine dans la mesure où elle interdisait la discrimination dans les bâtiments publics, dans l’administration et les emplois.