Originalement, l'expression
mémoire morte (en anglais, :
ROM) désignait une
mémoire informatique non volatile (c’est-à-dire une mémoire qui ne s’efface pas lorsque l’appareil qui la contient n’est plus alimenté en
électricité) dont le contenu était fixé lors de sa programmation, qui pouvait être lue plusieurs fois par l'utilisateur, mais ne pouvait plus être modifiée.