rhetorical

Rhetoric (pronounced ) is the art of discourse, an art that aims to improve the capability of writers or speakers to inform, persuade, or motivate particular audiences in specific situations. As a subject of formal study and a productive civic practice, rhetoric has played a central role in the European tradition. Its best known definition comes from Aristotle, who considers it a counterpart of both logic and politics, and calls it "the faculty of observing in any given case the available means of persuasion." Rhetorics typically provide heuristics for understanding, discovering, and developing arguments for particular situations, such as Aristotle's three persuasive audience appeals, logos, pathos, and ethos. The five canons of rhetoric, which trace the traditional tasks in designing a persuasive speech, were first codified in classical Rome: invention, arrangement, style, memory, and delivery. Along with grammar and logic (or dialectic—see Martianus Capella), rhetoric is one of the three ancient arts of discourse.

Rhetorik (altgriechisch   „die Redekunst“), deutsch Redekunst, ist die Kunst der Rede. Sie war schon in der griechischen Antike als Disziplin bekannt und spielte insbesondere in den meinungsbildenden Prozessen Athens und anderer Poleis eine herausragende Rolle.

Retorica (van het Griekse woord ῥήτωρ, rhêtôr, spreker, leraar; oude Nederlandse spelling rhetorica met -rh) is de uit de klassieken voortgekomen oudste westerse teksttheorie. De term staat voor welsprekendheid, maar in uitgebreide zin slaat het op effectief spreken en schrijven en de kunst van het overtuigen. Men gebruikt het begrip dus zowel voor de theorie – de leer van overtuigend spreken en schrijven of retorica – als voor de praktijk ervan. Men spreekt ook wel van ars rhetorica tegenover eloquentia.

La rhétorique est à la fois la science et l'art de l'action du discours sur les esprits. Le mot provient du latin , emprunté au grec ancien (), qui se traduit par . Plus précisément, selon Ruth Amossy :
Au-delà de cette définition générale, la rhétorique a connu au cours de son histoire une tension entre deux conceptions antagonistes, la rhétorique comme art de la persuasion et la rhétorique comme art de l'éloquence. La rhétorique grecque, telle qu'elle fut pratiquée par les sophistes et codifiée par Aristote, se préoccupait principalement de persuader. Dans l'Antiquité romaine, se fait jour une nouvelle conception de la rhétorique comme art de bien dire selon les mots de l'orateur romain Quintilien. À l'époque classique, la rhétorique s'étend à l'étude des textes écrits, et notamment aux textes littéraires et dramatiques, la conception romaine de la rhétorique l'emporte progressivement sur la conception grecque. La rhétorique s'est ainsi progressivement restreinte à la stylistique c'est-à-dire à un inventaire de figures relevant des ornements du discours. Il en résulte une conception de la parole rhétorique qui se distingue de l'argumentation et de la dialectique par l'usage d'effets pathétiques et éthiques du discours sur le public. Contre cette évolution, l'école rhétorique contemporaine de Chaïm Perelman renoue avec la rhétorique grecque en proposant une « nouvelle rhétorique » qui est une théorie de l'argumentation.