La
traite des fourrures était l'échange de biens de nécessité contre des
fourrures, en particulier entre les colons européens d'Amérique du Nord,
français et
britanniques et les autochtones des
Premières Nations en
Nouvelle-France. Elle était l'une des principales activités
économiques du au entre Amérindiens et nouveaux arrivants. Les fourrures transigées par les colons étaient destinées en presque totalité aux marchés
européens, en particulier aux marchés des deux mères-patries, la
France et la
Grande-Bretagne. On retrouve également un tel commerce entre les
Pays-Bas et ses colonies américaines, ainsi qu'en Russie.